HOMA CAPITAL a révélé les conclusions d’une mission de recherche ESG qui met en évidence le lien entre la situation de marché des entreprises et la prédictibilité de leur note Sociale. La performance est dans le « S » !
Les convictions profondes d’HOMA CAPITAL
HOMA CAPITAL signifie capital humain, en espéranto, « ressource sans laquelle il ne peut y avoir de création de valeur ». Cette expression reflète la culture de l’entreprise, qui a toujours veillé au bien-être de ses collaborateurs.
« Nous défendons un modèle collectif où la génération d’idées et leur implémentation sont des vecteurs de performance. Aussi, nous veillons aux facteurs motivationnels de notre organisation, car nous considérons qu’ils sont la condition sine qua non de notre goodwill », Lionel Tangy-Malca, président directeur général d’HOMA CAPITAL.
Étant un gestionnaire d’actif indépendant, la société apporte des solutions sur-mesure à chaque investisseur, délivre la performance tout en donnant du sens à l’investissement. HOMA CAPITAL partage avec ses investisseurs et ses collaborateurs la conviction profonde que la création de valeur doit être durable et partagée.
HOMA CAPITAL s’inscrit dans une dynamique d’investissement responsable :
- 1er gestionnaire d’un fonds « green » venant au financement de projets à impacts environnementaux et sociaux en France – Green & Impact Bond France (2019) – Article 9 SFDR.
- 1er gestionnaire d’un fonds à impact visant l’amélioration de la notation « Sociale » des entreprises dont il est actionnaire, Homa Impact Social France (2021) – Article 9 SFDR et Label Relance.
Valorisation du capital Humain
La Qualité de Vie au Travail étant au cœur de ses critères extra-financiers, HOMA CAPITAL a révélé, à l’occasion d’une conférence de presse le mardi 17 mai, les conclusions d’une mission de recherche. Cette recherche met en évidence le lien entre la situation de marché des entreprises et la prédictibilité de leur note Sociale (« S »).
« Pas d’écart entre les attentes des salariés et les attentes des actionnaires », déclare Lionel Tangy Malca lors de la conférence.
Accompagnés de Messaoud CHIBANE, Responsable du Msc Big Data & Finance chez Neoma, du Comité dédié à l’Impact Social, constitué de Jean-Claude Mailly, du Dr. Jean-Martin Cohen-Solal et de Karine Melloul. Les experts font la démonstration de la pertinence du critère social dans une gestion d’actifs responsable ainsi que de sa corrélation avec la volatilité et le rendement des investissements.
La Valorisation du Capital Humain est un aspect à prendre en compte pour plusieurs raisons:
- La surperformance annuelle est évaluée à 3,6% par an pour une augmentation du rating social d’un écart-type. Cette surperformance se manifeste jusqu’à cinq ans après l’observation du rating social. Meilleure notation sociale – meilleur comportement d’une entité.
- Signal prédictif de la performance de l’entreprise : le rating le plus prédictif de la surperformance future est celui relatif au traitement des salariés. Une amélioration des notes de satisfaction attribuées par les salariés à leurs employeurs prédit une surperformance au trimestre suivant à la fois au niveau du cours boursier, de la profitabilité et des ventes boursières.
- Résilience : des salariés engagés seront plus résilients en cas de crise, ce qui signifie un moindre risque pour les actionnaires.
La performance est dans le S !
Le gérant d’une entité recherchant un impact S doit pouvoir anticiper la progression de la note Sociale et doit être capable de maintenir le rôle d’empreinte humaine dans son portefeuille. Il doit procéder à cet exercice quotidiennement, alors que la publication des données est annuelle. Cela s’avère une opportunité afin de concevoir des outils d’aide à la décision qui permettent d’intégrer des données à haute et basse fréquence pour une meilleure gestion.
En effet, les performances sociales et financières d’une entité sont interdépendantes : si l’une se dégrade, l’autre se dégrade également.
Afin d’évaluer la performance sociale des entreprises sur une base quotidienne à partir des données publiques propres à l’entreprise, la volatilité idiosyncratique est un indice indispensable. La volatilité idiosyncratique (IDV) est la part du risque d’une action non expliqué par le marché. C’est une mesure intrinsèque de risque d’une entreprise parce qu’elle incorpore toutes les informations propres à l’entreprise, telles que publications de l’entreprise, rapports d’analystes, média.
Les signaux d’allertes
La recherche montre que dans le cas ou le risque intrinsèque mesuré quotidiennement par le marché augmente, l’empreinte humaine de l’entreprise se dégrade. Cela signifie que la notation « S » est négativement corrélée à la volatilité idiosyncratique (IDV).
« Quand le risque intrinsèque mesuré quotidiennement par le marché (contrairement au pas annuel des agences de notation) augmente au-delà de 20%, le gérant doit s’interroger sur le risque de dégradation de l’empreinte humaine de son portefeuille », résume Messaoud Chibane.
Les entreprises les moins risquées affichent une performance sociale deux fois supérieure aux plus risquées. Dans le même sens, les entreprises avec une performance sociale élevée génèrent 8,8% de rendement annuel de plus que les entreprises les moins performantes.
« Investir dans une entreprise où il ne fait pas bon vivre ne fait pas de sens. Rappelons que bien vivre dans une entreprise c’est appartenir à un groupe qui a des perspectives économiques et qui sait fédérer son actif organisationnel autour de ceux-ci. Tout actionnaire désireux de voir prospérer son investissement doit veiller à l’équilibre de ces deux facteurs dont le S est l’écho et que nous contribuons à mettre en avant à travers HOMA Impact Social France, 1 er fonds à impact dédié à la qualité de l’empreinte humaine », déclare Lionel Tangy-Malca.
Fort de ce constat, HOMA CAPITAL a développé un outil d’intelligence artificielle aux résultats très encourageants puisque, dans 2 cas sur 3, le signal produit a été capable de prévenir une dégradation de la note sociale d’un émetteur.
« Le rôle de l’étude, ce n’est pas de pointer du doigt un mauvais élément mais de fournir un outil au gérant », précise le président directeur général d’HOMA CAPITAL.
HOMA CAPITAL mène actuellement les missions de recherche de la création d’un indice S sectoriel, d’identification des facteurs qui expliquent le plus l’amélioration de la note sociale ainsi que l’opposition Best effort vs Best in class dans la note S.
Selon Lionel Tangy Malca, « Best effort est le chemin le plus sûr pour atteindre les hautes performances du S ».
A propos de HOMA CAPITAL
HOMA CAPITAL est une société de gestion indépendante, agréée AMF (2011) et AIFM (2014). Signataire des accords PRI, HOMA CAPITAL s’inscrit dans une dynamique d’investissement responsable : 60% de son encours est géré via des fonds visés par l’article 9 du règlement SFDR.