La crise liée à la mondialisation du Coronavirus est très violente : économiquement, financièrement et surtout psychologiquement. Elle a mis en évidence certaines lacunes dans l’organisation de nos pays et, d’une certaine façon, elle arrive à un moment bien particulier, où un certain nombre de principes étaient déjà en questionnement.
Cette terrible crise, par certains aspects, présente aussi un côté positif : la santé est passée avant l’économie et, surtout, elle peut nous projeter plus rapidement dans « une forme de monde d’après ». Ce monde, nous avions en effet le sentiment d’avoir commencé à y entrer ces dernières années, marquées par une montée profonde des enjeux sociétaux, une remise en cause du libéralisme financier et commercial…
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