Retrouvez dans cet article, les points importants de l’allocution de notre Président E. Macron…
Au grand regret de l’ensemble, le Président ne s’exprimera pas ce Lundi 23 Mars soir …
En cette période de crise, de guerre, de crise sanitaire, L’Elysée dément les rumeurs d’une prise de parole du Président de la république.
Que dire ? Quoi penser ?
Le pic de l’épidémie sera très certainement entre Avril et Mai et une fin d’épidémie lors de l’été.
Evidemment, cette information ( proche ministère ) est fonction du respect des consignes des confinés, des médicaments ( gros débats sur le Chloroquine ) mais aussi de l’impact économique qu’il ne faut pas négliger.
La couleur est annoncée avec le Ministre de l’Education, M Blanquer : ” un retour en classe le 04 Mai ”
Brillante communication de la part de notre Président qui ne souhaite pas s’exprimer car la moindre allocution est tellement polémique, que la simple rumeur d une allocution lui permet de prendre la température pour préparer la prochaine.
Les mesures sont elles suffisantes ?
D’autres extraits d’allocutions méritent le détour !
interrogé sur BFM, Nicolas Hulot:
“Nous recevons une sorte d’ultimatum de la nature”
“Il faut entendre cette leçon.”
“Il y a un autre model à inventer”
France 24 s’est entretenu avec le climatologue français Jean Jouzel, ancien vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec).
“Ce qu’on fait pour le coronavirus, c’est deux ans de financement climat”
“Oui. D’une certaine façon, l’environnement est bénéficiaire de la crise du coronavirus, mais de façon malheureusement temporaire. Il l’est doublement. D’abord, au niveau de la pollution urbaine – c’est vrai pour Paris, mais aussi pour les villes chinoises. Et puis, au niveau des émissions de dioxyde de carbone. La Chine émet habituellement 200 millions de tonnes de CO2 par semaine et sur les deux dernières semaines de février, nous avons relevé environ un quart de production de CO2 en moins. Nous avons donc gagné 100 millions de tonnes de CO2 sur deux semaines. “
Trump : “C’est un médicament fort, c’est un médicament puissant …” à propos de la Chloroquine lors d’une conférence de presse, vendredi à la maison blanche
Didier Raoult : «Pour traiter le Covid-19, tout le monde utilisera la chloroquine» spécialiste des maladies infectieuses, Directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection de Marseille (Bouches-du-Rhône)
Agnès Buzin : ” Il va y avoir des milliers de morts”
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé vendredi la suspension des règles de discipline budgétaire de l’UE, une mesure inédite qui permettra aux Etats membres de dépenser autant que nécessaire pour lutter contre les conséquences économiques du coronavirus.
«Aujourd’hui, et c’est nouveau et n’a jamais été fait auparavant, nous déclenchons la clause dérogatoire générale» qui permet de suspendre ces règles, a-t-elle déclaré dans une vidéo publiée sur Twitter. «Cela signifie que les gouvernements nationaux peuvent injecter dans l’économie autant qu’ils en auront besoin», a-t-elle ajouté. «Nous assouplissons les règles budgétaires pour leur permettre de le faire».
Christine Lagarde: «Covid-19, la BCE s’engage à soutenir chaque citoyen de la zone euro»
Les Autorités continuent de multiplier les actions inédites pour endiguer le Krach boursier et l’effondrement de l’économie réelle. C’est au tour de la BCE de dégainer un plan de rachat d’obligations à 750 milliards d’euros. Les Autorités américaines avancent sur l’idée d’un chèque de 1000$ par adulte et 500$ par enfant. Les marchés se stabilisent. Le pétrole bondit de 25%. La fin de la pandemie est prévue fin Aout, avec une décrue de pic à la mi Mai.
La Banque central européenne (BCE) semble enfin prendre la mesure de la crise et se met dans le sillage de ses consoeurs américaines et chinoises. Enannonçant le déblocage de 750 milliards d’euros, Christine Lagarde tente de faire oublier sa première réaction au choc sanitaire qui consistait, peu ou prou, à dire que la balle était dans le camp des gouvernements par un soutien budgétaire. Pas du tout le ton adapté à la situation actuelle. Désormais, tout est en place pour soutenir massivement l’économie. Nécessaire mais pas suffisant tant que le virus ne sera pas en voie de diminution réelle.
La Banque centrale européenne va mobiliser 750 milliards d’euros pour soutenir la zone euro face aux conséquences du coronavirus. La décision a été prise à l’issue d’une conférence téléphonique non prévue du Conseil des gouverneurs. Ces derniers jours ont été marqués par plusieurs incidents de communication qui ont inquiété les marchés.
Après que la gestion des risques a entraîné des effusions de sang sur le marché des obligations souveraines et face à l’ampleur du choc, cette réponse est beaucoup plus adéquate que la décision précédente. En effet, dans une institution qui apprécie désormais le consensus, ne devrait pas être surpris qu’il soit plus réactif. Cette nouvelle est très bien reçue sur les marchés obligataires grecs et italiens.
La stabilisation puis la dérive plus bas de les rendements devraient aider les banques exposées mais même avant cela, la simple baisse de la volatilité devrait stimule la gestion des risques. Le problème est de savoir si le risque de crédit est suffisamment absorbé, autrement dit s’il tombe aux plus démunis de ces pays sans le solde budgétaire pour absorber le choc. L’Italie est durement touchée par rapport à la Grèce jusqu’à ce qu’ils modifient la nature du programme.
Le programme lui-même est un gigantesque accessoire pour le cœur de l’Europe pour l’aider à traverser le trou des revenus qui a commencé à l’écart et est susceptible de supprimer certaines petites entreprises. Les statistiques indiquent que la plupart des nouvelles entreprises échouent au cours des 5 premières ans en raison de problèmes de liquidité (Banque de France).
La réaction de l’EURUSD a été qu’il ne s’agissait pas d’un événement: ce n’est pas le cas sur le marché obligataire a été tirée par la réduction des risques et l’utilisation extrême du bilan. La course est maintenant ouverte aux premiers suffisamment de bilan pour exécuter ces opérations de portage dans la périphérie. Les obligations grecques se sont déjà fortement appréciées.
Pour cela, ils ont besoin de savoir que le virus Covid-19 est contenu en Italie, en Grèce et dans le reste de l’Europe pour convaincre leur gestionnaire de risques. Un point de convexité extrême est donc devant nous – chuchoter un peu trop et l’équilibre entier se déplacera brutalement jusqu’à ce que nous puissions prévoir en toute sécurité une accélération maximale du virus.
La décision de la BCE, en particulier dans ses détails, est très impressionnante et, comme d’autres banques centrales, elle un cadre de partage des risques pour les petites et les minicaps. Dans ce cas, cela augure très bien pour la Grèce et l’Italie.
Les banques seront au courant de ces discussions afin que les mouvements devraient anticiper la décision comme un moyen d’aider les banques financières. Nous saluons la décision de la BCE et son examen de la Grèce et de l’Italie durement touchée.