Engagement : LBP AM adopte une politique droits humains

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LBP AM et Tocqueville Finance annoncent une politique Droits humains, alignée sur les Principes directeurs des Nations Unies. Cette initiative vise à prévenir les risques d’impacts négatifs sur les Droits humains dans leurs activités d’investissement. La politique comprend cinq piliers, notamment l’identification des risques, la prévention et l’atténuation, le suivi, la communication et la consultation des parties prenantes. Parmi les risques prioritaires figurent la pollution, les droits des travailleurs et des communautés locales. Emmanuelle Mourey, présidente du directoire de LBP AM, souligne l’importance de cet engagement pour préserver les droits humains et l’environnement.

LBP AM et Tocqueville Finance intensifient leurs efforts pour protéger les droits humains en adoptant une démarche de “diligence raisonnable” conforme aux Principes directeurs des Nations Unies.

En accord avec leur approche d’investissement responsable, LBP AM et Tocqueville Finance dévoilent leur politique sur les droits humains. Fondée sur les normes internationales telles que les Principes directeurs de l’OCDE et la Charte internationale des droits de l’homme, elle témoigne de leur engagement envers le respect des droits humains dans leurs activités d’investissement.

Cette politique repose sur une “diligence raisonnable” selon les Principes directeurs des Nations Unies afin de prévenir et d’atténuer les risques d’atteintes aux droits humains liés aux activités d’investissement.

La politique sur les droits Humains de LBP AM comporte cinq piliers :

  1. Identification des risques : Évaluation et priorisation des secteurs, géographies et thèmes les plus sensibles.
  2. Prévention et atténuation des risques : Sélection ISR basée sur la notation “GREaT*”, exclusion des entreprises à risque et engagement en matière de droits humains.
  3. Suivi et mesures : Veille normative, actions d’engagement et exclusion si nécessaire.
  4. Communication et transparence : Publication des politiques et de leur mise en œuvre.
  5. Consultation des parties prenantes : Intégration des avis tout au long du processus.

Parmi les principaux risques, LBP AM identifie les pollutions environnementales, la violation des droits des travailleurs, les atteintes à la vie privée et aux libertés d’expression, les risques pour les communautés locales et les populations autochtones, ainsi que les risques liés aux zones de conflit. La société de gestion prend des mesures pour les atténuer.

Emmanuelle Mourey, Présidente du Directoire de LBP AM, déclare : “La préservation des droits humains est aussi fondamentale que la protection du climat et de la biodiversité. Notre approche novatrice considère les droits humains comme des thèmes concrets, évalués en fonction de leur pertinence par secteur. Nous reconnaissons également les liens entre les aspects environnementaux et humains, comme l’impact des polluants sur le droit à la santé.”

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