DPAM lance deux nouvelles stratégies d’investissement à impact

DPAM
DPAM

DPAM, fort de son expérience de plus de 20 ans dans l’investissement responsable, annonce le lancement de deux nouvelles stratégies d’investissement à impact. Bien que ces initiatives puissent sembler du déjà vu et une copie concurrence un peu tardive, ces stratégies, axées sur les actions mondiales et les obligations d’entreprises à échéance fixe, visent à générer des impacts environnementaux et sociaux positifs tout en assurant une croissance du capital à long terme.

Stratégies d’investissement innovantes

Ignace De Coene et Mathias Talmant cogèrent activement la stratégie DPAM L Equities World Impact. Ce fonds sélectionne des actions mondiales qui respectent la « Triple Bottom Line » – « Planet, People, Prosperity ». Cette approche équilibrée vise à générer des performances financières tout en ayant un impact positif sur l’environnement et la société. En investissant dans des entreprises qui contribuent directement à des défis environnementaux et sociaux, DPAM L Equities World Impact se distingue par son intentionnalité et sa mesurabilité rigoureuse des résultats.

DPAM L Bonds EUR Impact Corporate 2028

Anahi Machado et Steven Decoster gèrent la stratégie DPAM L Bonds EUR Impact Corporate 2028, qui cible les obligations d’entreprises ayant des objectifs sociaux ou environnementaux positifs. Ce fonds vise non seulement à générer du rendement mais aussi à faire croître le capital d’ici le 29 décembre 2028. La stratégie repose sur l’investissement dans des obligations d’entreprises engagées dans des projets à impact mesurable, garantissant ainsi une contribution tangible aux objectifs de durabilité.

Approche de l’investissement à impact

L’approche de l’investissement à impact de DPAM se base sur les critères ESG d’intentionnalité et de mesurabilité. L’intentionnalité se traduit par la volonté de contribuer positivement aux défis environnementaux et sociaux, tandis que la mesurabilité exige des données concrètes et des évaluations fiables pour prouver l’impact réel des investissements. Les entreprises sélectionnées doivent démontrer une contribution significative à l’environnement ou à la société, que ce soit par l’accès à l’énergie propre, des logements abordables, ou des soins de santé de qualité.

Classification SFDR article 9

Les deux nouvelles stratégies de DPAM sont classées article 9 du règlement SFDR, ce qui signifie qu’elles répondent aux critères les plus stricts en matière de durabilité. Pour plus d’informations sur les aspects liés à la durabilité des fonds, consultez les sites internet DPAM L Equities World Impact et DPAM L Bonds EUR Impact Corporate 2028.

Évaluation de l’impact durable

L’évaluation de l’impact durable implique une analyse approfondie par les gérants de portefeuille de l’alignement des entreprises avec les thèmes d’impact environnemental et social définis par DPAM. Cette analyse inclut la répartition du chiffre d’affaires et des dépenses d’investissements des entreprises, ainsi que d’autres indicateurs de performance sectoriels. DPAM veille également à ce que la gestion des entreprises sélectionnées ne porte pas atteinte à l’environnement ou à la société.

Comité opérationnel des thèmes d’impact durable

Un comité opérationnel dédié, le SITOC, évalue et supervise chaque investissement pour assurer un engagement convaincant en matière d’impact durable. Ce cadre de gouvernance assure que les investissements sont conformes aux objectifs de durabilité de DPAM.

Risques associés et perspectives d’avenir

Les risques associés à DPAM L Bonds EUR Impact Corporate 2028 incluent le risque de perte en capital, le risque de concentration, le risque débiteur, le risque d’inflation, le risque de liquidité, le risque de marché et le risque lié aux produits dérivés. De même, DPAM L Equities World Impact présente des risques tels que le risque de perte en capital, le risque de concentration, le risque de change, le risque de liquidité, le risque de marché et le risque lié aux produits dérivés.

Engagement envers l’impact durable

Florent Griffon, spécialiste ISR, souligne la distinction entre l’intégration ESG et l’impact, précisant que l’intégration ESG se concentre sur l’atténuation des risques, tandis que l’impact explore des opportunités. Mathias Talmant, gérant de fonds, ajoute que DPAM vise à ce qu’au moins 30 % du chiffre d’affaires des entreprises soit lié à l’impact, ou que la moitié des dépenses d’investissement ou de R&D soit orientée vers des projets à impact positif.

Anahi Machado, gérante de fonds Fixed Income, conclut en affirmant que cette approche permet aux investisseurs de générer un impact sans compromettre les performances financières, positionnant DPAM à l’intersection entre finance responsable et impact réel.

A lire aussi : Évolutions favorables pour le PEA PME

Un accord de financement de 100 Millions d’Euros entre la BEI et Snam

BEI et Snam

La Banque européenne d’investissement (BEI) et Snam ont récemment conclu un accord de financement de 100 millions d’euros. Visant à soutenir des projets d’amélioration énergétique dans les bâtiments publics et des mesures d’efficacité énergétique pour les activités industrielles en Italie. Cet article examine en détail cet accord, les initiatives qu’il soutient, et son alignement avec les objectifs de REPowerEU.

Initiatives de renovit pour l’efficacité énergétique

Renovit, une filiale du groupe Snam dédiée à l’efficacité énergétique, est au cœur des projets financés par cet accord. L’objectif principal est de moderniser l’infrastructure énergétique de plus de 400 bâtiments publics et privés en Italie. Ces initiatives comprennent l’installation de panneaux solaires visant à produire une énergie propre avec une capacité totale de 24 MW.

Outre les bâtiments résidentiels et publics. Les mesures financées par la BEI visent également à optimiser l’efficacité énergétique des activités industrielles. Ces améliorations permettront de générer des économies d’énergie annuelles estimées à 84 GWh. Soit l’équivalent de la consommation annuelle de plus de 10 000 foyers italiens.

Contribution aux objectifs climatiques de l’Union Européenne

Cet accord de financement s’inscrit dans les objectifs climatiques de l’Union européenne, notamment le plan REPowerEU. La BEI s’est engagée à soutenir ce plan avec des investissements supplémentaires de 45 milliards d’euros d’ici 2027. L’accord avec Snam renforce cet engagement en facilitant la transition énergétique et en réduisant l’empreinte carbone des bâtiments en Italie.

Gelsomina Vigliotti, vice-présidente de la BEI, a souligné l’importance de cet accord pour l’autonomie énergétique de l’Europe. En promouvant des mesures d’efficacité énergétique, cet accord contribue non seulement à réduire les émissions de CO2, mais aussi à diminuer les factures énergétiques des ménages et des entreprises.

Un partenariat de longue date

La relation entre la BEI et Snam ne date pas d’hier. Avec des accords de financement totalisant près de 1,5 milliard d’euros au cours de la dernière décennie, ce partenariat a déjà contribué à de nombreux projets énergétiques en Italie. Cet accord de 100 millions d’euros est une nouvelle étape dans cette collaboration fructueuse.

Luca Passa, directeur financier de Snam, a exprimé sa satisfaction quant au soutien continu de la BEI. Il a réaffirmé les objectifs ambitieux de Snam en matière de finance durable, soulignant que cet accord reconnaît l’engagement concret de Snam envers la transition énergétique de l’Italie.

Contexte et information complémentaire

La Banque européenne d’investissement est l’institution de financement à long terme de l’Union européenne, détenue par les États membres. Elle finance des projets dans quatre domaines prioritaires : les infrastructures, l’innovation, le climat et l’environnement, et les PME. Au cours des cinq dernières années, la BEI a fourni plus de 58 milliards d’euros de financement pour des projets en Italie.

Snam est le principal opérateur européen de transport de gaz naturel, avec un réseau de 38 000 km en Italie et à l’étranger. L’entreprise est également active dans le stockage et la regazéification de gaz. Pour l’efficacité énergétique et la génération distribuée, Snam opère à travers Renovit, une société dans laquelle elle détient une participation majoritaire de 60,05 %.

En conclusion, cet accord de financement entre la BEI et Snam représente une avancée significative vers un avenir énergétique plus durable pour l’Italie. Grâce aux initiatives de Renovit, ce projet contribuera à la réduction des émissions de CO2, à l’amélioration de l’efficacité énergétique et à la promotion de l’autonomie énergétique en Europe.

A lire aussi : Comprendre et calculer les émissions évitées

DNB Asset Management lance un nouveau fonds biotech en Europe

DNB Asset Management

DNB Asset Management, un gestionnaire d’actifs nordique de renom, élargit son portefeuille avec le lancement d’un fonds spécialisé en biotechnologie en Europe. Disponible en Espagne, au Portugal, en France, ainsi qu’en Allemagne, Autriche et Suisse, ce fonds ambitionne de renforcer la position de l’entreprise sur le marché européen de la gestion d’actifs. Cet article explore les spécificités de ce nouveau fonds, ses objectifs stratégiques, et son potentiel pour les investisseurs.

Une expansion stratégique en Europe

DNB Asset Management a introduit le DNB Fund – Biotechnology (LU 2814038266) pour compléter son offre sectorielle en Europe. Fort de son succès dans les domaines technologiques et des énergies renouvelables, le gestionnaire d’actifs norvégien souhaite désormais capter l’intérêt des investisseurs européens avec un fonds axé sur la biotechnologie. Le fonds est accessible à la distribution publique dans plusieurs pays européens, consolidant ainsi la présence de DNB Asset Management sur ces marchés.

Les fonds thématiques sont au cœur de la stratégie de DNB Asset Management. Le lancement du DNB Fund – Technology en 2007, qui figure parmi les meilleurs de sa catégorie au niveau mondial, en est la preuve. Le nouveau fonds biotech s’inscrit dans cette même logique, offrant aux investisseurs une opportunité de diversification et d’engagement dans un secteur en forte croissance.

Le Fonds DNB Bioteknologi : une référence en Norvège

Lancé en Norvège en mai 2020, le DNB Bioteknologi a rapidement rencontré le succès. Cette stratégie, désormais proposée aux clients internationaux, mise sur des secteurs porteurs comme la biotechnologie, les diagnostics, les produits pharmaceutiques et la thérapie génique. Le fonds bénéficie de l’expertise d’une équipe expérimentée dans les domaines médical, pharmaceutique et financier.

Une équipe de gestion expérimentée

Le fonds biotech est géré par Benedicte Bakke et Rune Sand-Holm, avec le soutien de l’analyste Anesa Mulabecirovic Sahnoun. Cette équipe est également en charge du DNB Fund HealthCare, lancé en 2017. Leur connaissance approfondie du secteur de la santé et leur expérience en gestion d’actifs constituent des atouts majeurs pour le succès du fonds.

Flexibilité géographique et engagement ESG

Le fonds DNB Fund – Biotechnology adopte une approche géographiquement flexible, permettant d’optimiser les opportunités d’investissement à travers le monde. Il promeut également des aspects environnementaux et sociaux, en s’assurant que les entreprises dans lesquelles il investit suivent des pratiques de gouvernance responsables, conformément à l’article 8 de la SFDR.

En 2023, le fonds a obtenu la prestigieuse note Morningstar de 5 étoiles, témoignant de sa performance et de la qualité de sa gestion sur une période de trois ans. Cette reconnaissance renforce la crédibilité du fonds auprès des investisseurs et souligne son potentiel de croissance future.

Un leader nordique de la gestion d’actifs

DNB Asset Management est un gestionnaire d’actifs de premier plan dans les pays nordiques, offrant des produits diversifiés dans des classes d’actifs nordiques et des thèmes spécifiques. Filiale à 100 % du groupe DNB ASA, coté à la Bourse d’Oslo, DNB Asset Management bénéficie de la solidité et de la réputation d’un des plus grands groupes financiers nordiques.

En conclusion, le lancement du DNB Fund – Biotechnology en Europe représente une nouvelle étape stratégique pour DNB Asset Management, élargissant son offre de fonds thématiques et renforçant sa présence sur le marché européen. Les investisseurs européens disposent ainsi d’une nouvelle opportunité pour diversifier leur portefeuille et investir dans un secteur à fort potentiel de croissance.

A lire aussi : Vers un avenir durable : investissements et objectifs climatiques

Comprendre et calculer les émissions évitées

émissions évitées

Dans un contexte où la lutte contre le changement climatique s’intensifie de plus en plus d’entreprises intègrent les émissions évitées dans leur reporting environnemental. Ce concept, encore méconnu du grand public, représente un levier crucial pour la transition énergétique. Cet article explore en profondeur ce que sont les émissions évitées. Pourquoi il est important de les calculer? Comment les entreprises peuvent procéder pour quantifier ces émissions de manière efficace et transparente.

Qu’est-ce que les émissions évitées ?

Les émissions évitées désignent les réductions d’émissions de gaz à effet de serre (GES) générées par les activités, produits ou services d’une entreprise. Mais qui se produisent en dehors de son périmètre direct d’activité. Elles peuvent être obtenues par :

  • L’utilisation de solutions ou produits bas-carbone.
  • Le financement de projets de réduction ou de séquestration des émissions (par exemple, les crédits carbone ou les obligations vertes).
  • L’investissement dans des entreprises tierces qui calculent et rapportent les émissions évitées en proportion de la détention de capital.

Ces émissions sont évaluées par rapport à un scénario de référence. Représentant la situation hypothétique où les actions bas-carbone n’auraient pas été mises en œuvre.

Le bilan carbone traditionnel qui comptabilise les émissions directes et indirectes de l’entreprise (scopes 1, 2 et 3). Les émissions évitées vont au-delà de cette empreinte carbone. Elles relèvent souvent du scope 4. Incluant les réductions d’émissions générées chez les clients ou utilisateurs finaux grâce aux produits ou services de l’entreprise.

Pourquoi calculer ses émissions évitées ?

Prendre en compte les émissions évitées permet à une entreprise de comprendre son impact au-delà de son propre périmètre d’activité. Cela reflète son rôle dans la chaîne de valeur et sa contribution à la transition énergétique. Par exemple, Backmarket, en proposant des produits reconditionnés, réduit considérablement les émissions de CO2 par rapport à la production de nouveaux appareils.

Valoriser sa stratégie climat

Mettre en avant les émissions évitées améliore l’attractivité de l’entreprise auprès de ses clients, parties prenantes et investisseurs. Cela démontre un engagement proactif en matière de développement durable et encourage l’ensemble de l’écosystème à suivre cette voie. Toutefois, il est crucial de communiquer de manière transparente pour éviter le greenwashing.

Aller au-delà du bilan carbone

Bien que les émissions évitées ne remplacent pas le calcul de l’empreinte carbone, elles permettent de compléter et d’approfondir les efforts de réduction des GES. Cela offre aux entreprises une vision plus globale et précise de leur impact environnemental.

Comment calculer ses émissions évitées en 3 étapes

Étape 1 : calculer le cycle de vie de la solution de référence

La première étape consiste à identifier une solution de référence, c’est-à-dire un scénario hypothétique où la solution bas-carbone n’est pas utilisée. Cette analyse, souvent réalisée via une analyse de cycle de vie (ACV), inclut toutes les émissions générées depuis la fabrication jusqu’à la fin de vie du produit ou service.

Étape 2 : calculer le cycle de vie de la solution bas-carbone

Ensuite, il faut évaluer les émissions de la solution bas-carbone mise en œuvre par l’entreprise. Ce calcul prend en compte les émissions évitées grâce à l’utilisation de cette solution, en les comparant au scénario de référence.

Étape 3 : faire la différence entre les deux scénarios

La dernière étape consiste à soustraire les émissions de la solution bas-carbone de celles de la solution de référence. Cette différence représente les émissions évitées. Il est recommandé de suivre des méthodologies reconnues et de justifier chaque hypothèse utilisée dans le calcul.

Recommandations pour le calcul des émissions évitées

Avant de commencer le calcul, il est essentiel de définir clairement les objectifs de l’entreprise en matière de réduction des émissions. Cela facilite l’élaboration d’un scénario de référence pertinent et cohérent.

Prioriser la réduction des émissions évitées directes et indirectes

La réduction des émissions directes et indirectes doit rester la priorité. Les émissions évitées viennent en complément et ne doivent pas être substituées aux efforts de réduction des émissions réelles.

Le choix du scénario de référence est crucial car il influence fortement les résultats du calcul. Il doit être basé sur des données fiables et représentatives. Travailler en collaboration avec d’autres entreprises peut renforcer la robustesse de la méthodologie choisie.

Communiquer en toute transparence

La transparence dans la communication des résultats est essentielle. L’entreprise doit expliciter les méthodes de calcul, les hypothèses utilisées, et distinguer clairement les émissions évitées des émissions directes et indirectes de son bilan carbone.

Calculer et valoriser les émissions évitées constitue un enjeu stratégique pour les entreprises souhaitant contribuer efficacement à la transition énergétique. En adoptant des méthodologies rigoureuses et en communiquant de manière transparente, elles peuvent non seulement améliorer leur performance environnementale, mais aussi renforcer leur compétitivité et leur attractivité sur le marché.

Évolutions favorables pour le PEA PME

PEA PME

Paris, le 3 juillet 2024 – La nouvelle législation promulguée le 13 juin 2024 modifie les critères d’éligibilité du PEA PME, ouvrant de nouvelles opportunités pour les entreprises et les investisseurs.

La récente loi visant à accroître le financement des entreprises et l’attractivité de la France apporte des changements significatifs aux critères d’éligibilité du PEA PME. Cette réforme permet d’inclure davantage de petites et moyennes entreprises (PME) et d’entreprises de taille intermédiaire (ETI), stimulant ainsi le soutien au tissu productif français et européen.

Extension des critères d’éligibilité

La loi du 13 juin 2024 modifie les critères d’éligibilité au PEA PME en incluant désormais les entreprises de moins de 5 000 salariés, avec un chiffre d’affaires inférieur à 1,5 milliard d’euros ou un bilan inférieur à 2 milliards d’euros. En outre, les sociétés dont la capitalisation est inférieure à 2 milliards d’euros sont également éligibles, contre 1 milliard auparavant.

Ces modifications devraient augmenter le nombre de valeurs éligibles au PEA PME de 25%. Atteignant ainsi environ 3 840 émetteurs en Europe. En France, près de 40 entreprises deviennent nouvellement éligibles, portant le total à 415 PME et ETI, soit une augmentation de 15%.

Soutien aux PME et ETI

Le Groupe LBP AM, dont fait partie La Financière de l’Échiquier (LFDE), place le soutien aux PME et ETI françaises et européennes au cœur de sa stratégie. Quatre fonds de LFDE, représentant un encours cumulé de près de 500 millions d’euros, illustrent cet engagement :

  1. Echiquier Entrepreneurs : Spécialisé dans les PME/ETI européennes de croissance.
  2. Echiquier Excelsior : Dédicacé aux micro-caps européennes de croissance.
  3. Tocqueville PME : Investi principalement dans les PME/ETI françaises et européennes.
  4. Tocqueville France Micro Cap : Concentré sur les micro-caps françaises.

Soutenir les entrepreneurs et l’innovation

Michel Saugné, co-directeur des investissements chez La Financière de l’Échiquier, souligne que cette évolution législative permettra de soutenir un plus grand nombre de PME et ETI.

“Accompagner les entrepreneurs dans leur développement en France et à l’international, soutenir la création d’emplois et apporter du capital à de jeunes pousses innovantes tout en contribuant à la réindustrialisation du continent européen constituent des éléments fondamentaux de nos actions au service de nos clients,” déclare-t-il.

Risques et opportunités

Considérations pour les investisseurs

Les fonds de LFDE présentent certains risques. Notamment le risque de perte en capital, le risque lié à l’investissement dans des actions de petites et moyennes capitalisations. Et le risque de gestion discrétionnaire. Les investisseurs sont invités à consulter les documents réglementaires disponibles sur le site de LFDE pour une compréhension complète des caractéristiques, des risques et des frais associés à ces fonds.

Performances et perspectives futures

Il est essentiel de noter que les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Les informations, données et opinions de LFDE sont fournies à titre indicatif. Elles ne constituent ni une offre d’achat ou de vente d’un titre ni un conseil en investissement.

La réforme du PEA PME représente une avancée majeure pour le financement des PME et ETI. En élargissant les critères d’éligibilité. Cette législation ouvre de nouvelles perspectives pour les investisseurs et soutient la croissance et l’innovation des entreprises. LFDE, avec son expertise et son engagement envers les PME et ETI, est bien positionnée pour accompagner cette dynamique.

A lire aussi : Vers un avenir durable : investissements et objectifs climatiques

Mines Paris, PSL et la filière textile responsable

Filière Textile Responsable

L’industrie textile en France, avec ses 2 200 entreprises et plus de 62 000 salariés, doit évoluer vers des pratiques plus durables pour réduire son impact environnemental. Dans ce contexte, Mines Paris – PSL, en collaboration avec le Fonds Social B’Lao, lance la Chaire Filière Textile Responsable, visant à promouvoir des pratiques plus écologiques et sociales au sein de cette industrie.

Une chaire pour la responsabilité environnementale et sociétale

En 2024, face aux défis environnementaux, Mines Paris – PSL, par le biais du programme ENAMOMA-PSL, a lancé la Chaire Filière Textile Responsable. Cette initiative, soutenue par le Fonds Social B’Lao, a pour objectif de rassembler les acteurs du secteur textile autour de valeurs communes de responsabilité environnementale et sociétale.

Objectifs et ambitions de la chaire

La Chaire, présidée par Cynthia Fleury, se concentre sur la consolidation et l’élargissement des connaissances scientifiques pour soutenir les stratégies de réindustrialisation et de repositionnement des entreprises textiles. L’accent est mis sur l’innovation dans les processus créatifs et industriels, en intégrant la digitalisation et l’automatisation, dans le respect du développement humain et de la préservation des milieux naturels. Plusieurs acteurs majeurs, tels que l’Union des Industries Textiles et le groupe Adore Me, soutiennent cette initiative.

Programme ENAMOMA-PSL : une plateforme de collaboration interdisciplinaire

La Chaire s’appuie sur le programme ENAMOMA-PSL (Engagement pour des Alternatives Mode & Matière créatives et responsables), créé en 2016 par Dauphine – PSL, Mines Paris – PSL et l’École des arts décoratifs, Paris – PSL. Ce programme vise à favoriser la collaboration entre diverses disciplines pour accompagner la transition écologique, sociale et technologique du secteur de la mode et des matières.

Renforcement des liens académiques et professionnels

Selon Cédric Dalmasso, directeur du Centre de Gestion Scientifique Mines Paris – PSL, la Chaire vise à renforcer les liens entre les mondes académiques et professionnels, tant au niveau de l’enseignement que de la recherche. Elle favorise des échanges et collaborations internationales, consolidant ainsi la position d’excellence de l’ENAMOMA-PSL sur la scène mondiale.

Soutien au master mode & matière

La Chaire soutient également le Master Mode & Matière, une formation interdisciplinaire qui forme des étudiants engagés dans la transformation des pratiques du secteur. Cette formation sert de plateforme d’expérimentation, réunissant étudiants, enseignants, chercheurs et professionnels des domaines du design, des sciences de l’ingénieur et du management.

Financement et engagement du fonds social B’Lao

Le Fonds Social B’Lao, créé en janvier 2017 par Phu Tran Van, finance la Chaire à hauteur de 300 000 €. Le Fonds se distingue par son modèle de “capitalisme social”, où les entreprises sont gouvernées par leurs créateurs. Cet engagement vise à promouvoir l’éducation à vie et à transmettre des valeurs responsables à tous les membres de la filière textile, contribuant ainsi à une croissance économique durable.

Participation et implication des mécènes

Les mécènes de la Chaire auront accès aux travaux de recherche et pourront influencer leur orientation à travers les instances de gouvernance mises en place. Cette collaboration renforcera leurs compétences dans le domaine de la responsabilité environnementale et sociétale.

En somme, la Chaire Filière Textile Responsable de Mines Paris – PSL représente un pas significatif vers des pratiques plus durables dans l’industrie textile. Grâce à l’engagement de partenaires académiques et industriels, ainsi qu’à l’appui financier du Fonds Social B’Lao, cette initiative promet de transformer le secteur en intégrant des innovations technologiques et des valeurs de responsabilité sociale et environnementale.

A lire aussi : Swiss Life Asset Managers lance son quatrième fonds d’infrastructures international

Vers un avenir durable : investissements et objectifs climatiques

avenir durable

Atteindre les objectifs climatiques fixés par l’accord de Paris pour 2050 pour un avenir durable nécessite une réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre, suivie de la compensation des émissions résiduelles grâce à des mécanismes naturels ou technologiques.

Ceci est un extrait d’une interview, sélectionné par votre média Green Finance, qui donne la parole à tous, même si cela peut vous déplaire et nous déclinons toutes responsabilités sur la source et les propos de cet extrait.

Avenir durable et le concept du net zéro

L’objectif de net zéro représente la première étape. Elle est essentielle pour atteindre les objectifs climatiques de l’accord de Paris à l’horizon 2050. Ce concept impose une réduction significative des émissions de gaz à effet de serre. De sorte qu’elles ne dépassent pas la capacité d’absorption de notre écosystème planétaire. La seconde étape de ce processus consiste à compenser les émissions résiduelles par des mécanismes naturels. Tels que la reforestation, ou des solutions technologiques innovantes.

Stratégie d’investissement en zone euro

Un fonds action dédié à la zone euro, actuellement doté de 140 millions d’euros. Il est conçu pour aligner ses objectifs avec les accords de Paris pour un avenir durable. Ce fonds, labellisé ISR selon l’article 9, vise à réduire l’intensité carbone de 7% par an en moyenne. Se positionnant comme un outil de transition vers une économie décarbonée.

Une approche inclusive et pragmatique

Contrairement à d’autres fonds climat qui privilégient les exclusions et n’investissent que dans des secteurs faiblement émetteurs, ce fonds adopte une approche novatrice en investissant dans tous les secteurs, y compris les plus polluants. Les investissements se concentrent sur les entreprises ayant les trajectoires de réduction des émissions les plus crédibles au sein de leur secteur. Cette stratégie permet d’avoir un impact plus significatif sur la réduction globale des émissions de gaz à effet de serre.

Gestion pragmatique des thématiques

Le fonds adopte une gestion pragmatique, sans surpondération ou sous-pondération marquée des secteurs. L’accent est mis sur la sélection des entreprises en fonction de la crédibilité de leurs trajectoires de réduction des émissions. Le portefeuille est surveillé à l’aide d’indicateurs d’intensité carbone pour valider les trajectoires des sociétés investies. Trois prestataires externes et un groupe d’experts scientifiques sont sollicités pour évaluer les stratégies des entreprises en matière de durabilité.

Exemple de flexibilité sectorielle

Depuis le lancement du fonds, l’absence d’investissement dans les énergies renouvelables a été notable. Toutefois, une position dans ce segment a récemment été initiée, et d’autres opportunités dans ce domaine sont actuellement étudiées. Cette flexibilité sectorielle illustre l’approche pragmatique du fonds dans la gestion des thématiques de transition énergétique.

Bilan et résultats

Lancé fin 2019, le fonds dispose aujourd’hui de quatre ans d’historique, permettant d’évaluer ses performances. Les ambitions de réduction de l’intensité carbone ont été largement dépassées, attestant de la crédibilité des trajectoires des sociétés en portefeuille, notamment dans les secteurs les plus émetteurs. Quelques chiffres illustrent ces résultats : une baisse de l’intensité carbone comprise entre 7% et 15% par an, et une augmentation du poids des secteurs émetteurs de 19% à 45% depuis le lancement du fonds.

En conclusion, cette stratégie d’investissement se distingue par son approche inclusive, visant à générer un impact significatif sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. En combinant pragmatisme et innovation, le fonds s’aligne sur les objectifs climatiques de l’accord de Paris, tout en offrant des opportunités d’investissement durable à ses partenaires.

A lire aussi : Swiss Life Asset Managers lance son quatrième fonds d’infrastructures international

Swiss Life Asset Managers lance son quatrième fonds d’infrastructures international

Swiss Life Asset Managers

Swiss Life Asset Managers poursuit son expansion dans les actifs non cotés avec le lancement de son quatrième fonds d’infrastructures core/core+ international, « Swiss Life Funds (LUX) Global Infrastructure Opportunities IV SCSp, SICAV-RAIF » (GIO IV). Ce fonds, destiné aux investisseurs qualifiés et professionnels, vise à atteindre une taille cible de 2,5 milliards d’euros, avec un premier closing prévu au premier trimestre 2025.

Une stratégie d’investissement éprouvée par Swiss Life Asset Managers

GIO IV suit la stratégie de ses prédécesseurs en se concentrant sur des investissements directs à long terme dans des infrastructures du marché intermédiaire. Le fonds cible des sociétés à forte intensité d’actifs dans des secteurs d’avenir tels que les transports, les énergies renouvelables, les services aux collectivités et les infrastructures numériques. Ces investissements sont sélectionnés pour leurs flux de trésorerie solides, leur volatilité limitée et leur potentiel de croissance mesurable.

Objectifs financiers et structuration du fonds

L’objectif principal de GIO IV est de générer des rendements et des dividendes attractifs pour les investisseurs qualifiés ou professionnels. En prenant des positions de contrôle dans les entreprises ciblées, ils entendent maximiser la création de valeur. Le fonds investira principalement sur les marchés de l’OCDE, avec une attention particulière à l’Europe et à l’Amérique du Nord. Afin de constituer un portefeuille diversifié et de haute qualité dans les secteurs essentiels de l’infrastructure.

Un accent sur la durabilité et l’innovation

Par le biais de GIO IV, ils mettent l’accent sur l’investissement dans des secteurs cruciaux pour la société et l’économie. Le fonds se conforme à l’Article 8 du règlement SFDR. Ce qui implique une transparence accrue sur les critères de durabilité.

Expertise et expérience de l’équipe de Swiss Life Asset Managers

Le fonds sera conseillé par une équipe dédiée et expérimentée de la plateforme Infrastructure Equity de Swiss Life Asset Managers. Reconnue pour son expertise dans l’origination et l’exécution de transactions. Ainsi que pour la création de valeur durable pour les investisseurs. Selon Gabriele Damiani, Head Core Infrastructure. Cette approche flexible permet de naviguer efficacement entre secteurs et géographies pour générer les rendements attendus.

Perspectives de croissance et de rentabilité

L’approche d’investissement de GIO IV vise à tirer parti des tendances à long terme dans les secteurs des infrastructures, offrant ainsi une opportunité unique aux investisseurs de participer à des projets de grande envergure avec un potentiel de croissance significatif.

Positionnement sur le marché international

En se concentrant sur les marchés de l’OCDE, principalement en Europe et en Amérique du Nord, GIO IV cherche à capitaliser sur des opportunités dans des environnements économiques et réglementaires stables. Cette stratégie permet de minimiser les risques tout en maximisant les rendements pour les investisseurs.

Avec le lancement de GIO IV, Swiss Life Asset Managers continue de renforcer son positionnement dans les investissements en infrastructures, offrant ainsi à ses clients des opportunités d’investissement diversifiées et durables. Cette initiative témoigne de l’engagement de Swiss Life Asset Managers à fournir des solutions d’investissement innovantes et responsables, adaptées aux besoins de ses investisseurs qualifiés et professionnels.

Pour plus d’informations, contactez les relations presse de Swiss Life Asset Managers ou consultez leur site internet.

A lire aussi : M&A : l’impact croissant de l’ESG dans les fusions et acquisitions

M&A : l’impact croissant de l’ESG dans les fusions et acquisitions

M&A
M&A

L’intégration des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) prend une importance de plus en plus marquée dans les opérations de fusions et acquisitions (M&A). D’après une enquête menée par Deloitte auprès de 165 responsables M&A en Europe et au Moyen-Orient, les considérations ESG influencent chaque étape des transactions, de la stratégie initiale à l’intégration post-acquisition. Cet article explore les principaux résultats de cette enquête, en soulignant l’importance croissante des critères ESG dans les stratégies M&A, leur impact sur la valorisation des transactions, leur rôle potentiel de dealbreaker et les opportunités qu’ils offrent pour l’optimisation post-acquisition.

L’ESG, un facteur clé dans les stratégies M&A

Les critères ESG jouent un rôle déterminant dans la sélection des transactions prioritaires. Plus de deux tiers des organisations ont déjà initié des processus d’acquisition ou de cession visant à améliorer leur profil ESG. Ces entreprises considèrent que l’intégration des critères ESG dans leur stratégie M&A est essentielle pour s’aligner sur les attentes croissantes des parties prenantes et les exigences réglementaires.

Adoption progressive de l’ESG dans les portefeuilles

L’enquête révèle que 49% des organisations en France ont défini une stratégie pour évaluer leur portefeuille sous l’angle ESG et 32% sont activement à la recherche de cibles potentielles. Ce mouvement souligne une tendance vers une intégration plus systématique des critères ESG dans les processus de décision M&A, renforçant ainsi l’importance de ces critères dans la création de valeur à long terme.

L’influence de l’ESG sur la valorisation des transactions

Les actifs avec un profil ESG élevé bénéficient d’une prime, tandis que ceux avec un profil faible subissent une décote. Les organisations sont prêtes à payer plus pour des entreprises respectant des standards ESG rigoureux, reflétant la perception accrue de la valeur des pratiques durables.

Préférences de prime et de décote

En France, 72% des organisations sont prêtes à appliquer une prime importante (3-6%) pour des actifs avec un bon profil ESG, tandis que 21% pourraient appliquer une décote considérable (6% ou plus) pour des actifs aux pratiques ESG insuffisantes. Cela montre une volonté claire d’investir dans des entreprises qui alignent leurs opérations sur des principes de durabilité, tout en se protégeant des risques associés à des pratiques non conformes.

L’ESG comme Dealbreaker

Les considérations ESG peuvent déterminer l’issue des transactions M&A. En France, 62% des répondants ont renoncé à des acquisitions potentielles en raison de préoccupations ESG. Les secteurs de la consommation et des technologies se montrent particulièrement sensibles aux profils ESG des cibles.

Renoncements basés sur l’ESG

72% des vendeurs en France ont également annulé des cessions potentielles pour des raisons ESG. Cette tendance montre que les critères ESG sont devenus des facteurs critiques non seulement pour les acheteurs mais aussi pour les vendeurs, influençant ainsi la faisabilité des transactions.

L’ESG dans l’intégration post-acquisition : opportunité d’optimisation

L’intégration post-acquisition (PMI) offre des opportunités significatives pour optimiser la valeur et gérer les risques par l’intégration des critères ESG. Cependant, beaucoup d’organisations n’ont pas encore de démarche définie pour intégrer ces considérations dans leurs processus PMI.

Stratégies d’intégration ESG

40% des organisations en France ont une approche définie pour gérer les facteurs ESG dans le PMI. En intégrant les critères ESG de manière systématique, ces entreprises peuvent non seulement améliorer leur performance globale mais aussi renforcer leur résilience face aux enjeux environnementaux et sociaux.

L’importance croissante des critères ESG dans les opérations de fusions et acquisitions reflète une transformation profonde des pratiques d’affaires. En intégrant ces critères à chaque étape des transactions, les entreprises peuvent non seulement répondre aux attentes croissantes des parties prenantes mais aussi saisir des opportunités de création de valeur durable et de gestion des risques. Cette enquête de Deloitte met en lumière une tendance irréversible vers des pratiques d’affaires plus responsables et durables.

A lire aussi : Les investissements ESG : démythification des coûts

AG2R LA MONDIALE : rendement de 4% et nouvelle émission en 2024

AG2R

AG2R LA MONDIALE annonce un rendement de 4% pour ses certificats mutualistes en 2023 et prépare une nouvelle émission de 150 millions d’euros pour 2024. Ces certificats permettent aux assurés de détenir une part des fonds propres du groupe, avec une souscription minimum de 500€.

Contexte et création des certificats mutualistes

Les certificats mutualistes ont vu le jour grâce à la Loi du 31 juillet 2014 relative à l’économie sociale et solidaire, également connue sous le nom de « Loi Hamon ». Ces instruments financiers sont spécifiquement destinés aux organismes d’assurance mutualistes ou paritaires.

L’initiative d’AG2R LA MONDIALE

En 2016, AG2R LA MONDIALE a été pionnière dans l’introduction de ces titres via sa SGAM. À fin 2023, les certificats mutualistes d’AG2R LA MONDIALE totalisaient 358 millions d’euros, répartis sur plus de 22 800 comptes.

Caractéristiques des certificats mutualistes

Les certificats mutualistes donnent aux assurés et sociétaires une part des fonds propres de la SGAM, avec une rémunération fixée par l’Assemblée générale. Ces titres perpétuels sont rachetables exclusivement par AG2R LA MONDIALE, sans frais de souscription, de gestion ou de sortie.

Avec une valeur nominale de 10€, ces certificats sont accessibles en agence ou sur le site internet du groupe. Toute personne physique assurée ou sociétaire d’une entreprise appartenant au groupe prudentiel SGAM AG2R LA MONDIALE peut y souscrire. L’investissement minimum est fixé à 500€, tandis que l’investissement maximum est de 10% du patrimoine financier du foyer fiscal, dans la limite de 50 000 €, sauf dérogation explicite pour les souscripteurs avertis pouvant aller jusqu’à 100 000 €.

Annonce de rémunération et nouvelle émission

L’Assemblée générale de la SGAM AG2R LA MONDIALE, qui s’est tenue le 16 mai 2024, a décidé :

  • De fixer la rémunération des certificats mutualistes pour l’année 2023 à 4,00% (hors fiscalité et prélèvements sociaux).
  • De lancer une nouvelle émission de 150 millions d’euros sur les vingt-quatre mois suivant cette Assemblée.

Approbations réglementaires

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) a validé cette initiative le 23 avril 2024, suivie de l’Autorité des marchés financiers (AMF) qui a délivré son approbation le 24 juin 2024. La nouvelle émission commencera à partir de cette date.

Déclaration du groupe

Olivier Arlès, membre du Comité de Direction en charge des investissements, des finances et des risques, a exprimé sa satisfaction :

« Nos précédentes émissions de certificats mutualistes ont rencontré un franc succès, attestant de la confiance et de l’attachement de nos assurés et sociétaires. En 2023, nous avons pu offrir une rémunération de 4% à nos souscripteurs, tout en renforçant l’offre de produits financiers du Groupe et en incarnant nos valeurs. »

Régime fiscal

Le régime fiscal des certificats mutualistes s’aligne sur celui des dividendes versés aux personnes physiques. Depuis le 1er janvier 2018, l’épargnant peut choisir que les revenus des certificats mutualistes soient soumis à une flat tax de 30%.

Informations complémentaires

Pour plus d’informations, le prospectus de base approuvé par l’AMF (numéro 24-235 en date du 24 juin 2024) est disponible sur le site d’AG2R LA MONDIALE et sur le site de l’AMF. Nous recommandons de consulter la rubrique « Facteurs de risque » pour bien comprendre les enjeux associés.

Découvrez aussi notre article sur l’analyse du marché de la finance durable – ING France